Mon Ethique Biographie Qualifications Actualités
Mon Ethique
La recherche d’un résultat naturel en chirurgie esthétique ou en médecine esthétique constitue mon objectif principal. Je considère qu’une intervention réussie de chirurgie esthétique est une intervention qui permet d’obtenir un résultat en harmonie avec son visage ou son corps.
Il me parait indispensable de comprendre, de respecter et de m’adapter au souhait du patient, en lui faisant part de mon expérience, afin d’éviter les résultats stéréotypés.
J’utilise les techniques les plus récentes qui permettent une reprise d’activité dans les meilleures conditions. Je porte une attention toute particulière au suivi personnalisé des soins.
Ce site d’information dédié à la chirurgie plastique, esthétique et reconstructrice a pour vocation de répondre aux questions et aux attentes des patients qui envisagent une intervention de chirurgie plastique ou un acte de médecine esthétique. Cette information mise à disposition vise à compléter la consultation médicale sans jamais s’y substituer. Le dialogue entre le patient et son chirurgien sont des conditions irremplaçables.
J’exerce mon activité de chirurgien esthétique exclusivement en secteur privé, afin d’offrir une prise en charge optimale à mes patients. Je vous reçois dans mon cabinet de consultation au 67 avenue Foch à Lyon 6ème ainsi qu’à la clinique Montchoisi à Lausanne et j’interviens dans des cliniques agréées en chirurgie plastique, esthétique et reconstructrice à Lyon et à Lausanne.
Biographie
Chirurgien plasticien qualifié en Chirurgie Esthétique, Plastique et Reconstructrice exerçant à Lyon et Lausanne, je pratique l’ensemble des interventions que couvre ma spécialité ainsi que des interventions de médecine esthétique.
Ma formation a toujours été guidée par un souci d’excellence dans le choix de services de référence dans la spécialité.
Après des études à Lyon, une formation d’interne en chirurgie plastique à Grenoble, Lyon et Paris, dans les services des Pr Raphael, Lebeau, Cantaloube, Moutet, Baruch, Raulo et Lantieri, j’ai été nommé Chef de Clinique-Assistant des Hôpitaux de Lyon dans le service de Chirurgie de la Face du Pr Beziat puis Chef de Clinique Adjoint des Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG) dans le service de Chirurgie Plastique des Pr Montandon et Pittet.
A l’issue de ce parcours hospitalo-universitaire, j’exerce en secteur privé depuis 2000 à la Clinique du Parc à Lyon.
Après avoir obtenu le titre de Postgrade Fédéral de médecin spécialiste en chirurgie plastique en Suisse, par la Mebeko à Berne, j’exerce également à Lausanne.
Je suis diplômé du Collège Français de Chirurgie Plastique, de Chirurgie de la Face, de Microchirurgie Expérimentale, de Réparation du Dommage Juridique et d’une Maitrise de Sciences Biologiques et Médicales. J’ai publié de nombreux articles scientifiques dans des revues internationales (Plastic and Reconstructive Surgery, British Journal of Plastic Surgery, Journal of Cranio facial Surgery, Year Book of Head and Neck Surgery, Journal of Oral and MaxilloFacial Surgery) et nationales ( Annales de Chirurgie Plastique et Esthétique).
De cette formation, je garde le goût du respect de l’indication opératoire, d’une chirurgie minutieuse et d’un suivi irréprochable.
Mes domaines de prédilection en chirurgie esthétique sont :
La chirurgie de la face (blépharoplastie, lifting, rhinoplastie, l’otoplastie)
La chirurgie du sein (l’augmentation mammaire, la cure de ptôse et la réduction mammaire)
La chirurgie de la silhouette (abdominoplastie et lipoaspiration)
La médecine esthétique (acide hyaluronique et botox)
La chirurgie réparatrice avec une expertise en cancers cutanés
Mes Qualifications et affiliations
Chirurgien Spécialiste en Chirurgie Plastique, Reconstructrice et Esthétique
-
Qualifications :
- Postgrade fédéral de Chirurgie Plastique en Suisse
Docteur en Médecine - Ancien Chef de Clinique Adjoint des Hôpitaux Universitaires de Genève
Ancien Assistant – Chef de Clinique de la Faculté de Médecine de Lyon
Ancien Interne des Hôpitaux
Praticien –Attaché des Hôpitaux - Diplômé d’Etudes Spécialisé en Chirurgie Plastique, Reconstructrice et Esthétique
Diplômé d’Etudes Spécialisé en Chirurgie Générale - Diplômé du Collège Français de Chirurgie Plastique
- Attestation d’Etudes Universitaires de Microchirurgie Expérimentale, Lyon I
Attestation d’Etudes Universitaires de Réparation Juridique et de Dommage Corporel, LYON I
Diplôme Universitaire de Chirurgie de la Face, Grenoble
Maitrise de Sciences Biologiques et Médicales, Lyon I - Certificat d’Anatomie et d’Organogénèse
- Certificat d’Anatomie Spécialisée
Affiliations :
Membre Actif de la Société Française de Chirurgie Plastique Réparatrice et Esthétique SOFCPRE
Trésorier de la Société Rhône Alpes Auvergne de Chirurgie Plastique SARACEP
Membre du Syndicat National de Chirurgie Plastique et Esthétique SNCPRE
Collège Français de Chirurgie Plastique
En hommage à mon père :
Edouard Torossian
Une de ses oeuvres, inspirée d’ Enigmatic Combat d’Arshile Gorky.
D’autres de ses oeuvres illustrent des pages du site conjointement à des oeuvres de Paul Klee, Amadeo Modigliani, Paul Gauguin, Paul Signac et Edvard Munch en accord avec la Réunion des Musées Nationaux.
Actualités
Implants Mammaires :
En France : L’ANSM décide ( 4/04/2019), par mesure de précaution, de retirer du marché des implants mammaires macrotexturés et des implants mammaires à surface recouverte de polyuréthane – L’ANSM ne recommande pas d’explantation préventive pour les femmes porteuses de ces implants.
Les implants texturés sont également retirés du marché et seules quelques marques sont autorisées à proposer des implants microtexturés
Aux Etats-Unis (2/05/2019) Les implants texturés sont autorisés
FDA Allows the Continued Use of Textured-Surface Breast Implants and Tissue Expanders From Allergan, Mentor, and Sientra
L’ANSM rappelle sa recommandation d’utiliser de préférence des implants mammaires lisses en chirurgie esthétique ou reconstructrice.
Compte tenu de la rareté du risque de survenue de LAGC-AIM et de l’avis du CSST, l’ANSM ne recommande pas d’explantation préventive des implants macrotexturés et des implants à surface recouverte de polyuréthane.
Par ailleurs, comme recommandé par le CSST, l’ANSM tient à rappeler l’importance d’une information rigoureuse et complète auprès des femmes souhaitant la pose d’implants mammaires. La patiente et le chirurgien doivent discuter ensemble des avantages et inconvénients des différents implants disponibles et des techniques alternatives en chirurgie esthétique ou en reconstruction après un cancer du sein.
Février 2019 :
ANSM a convié les chirurgiens ainsi que les sociétés savantes aux audiences publiques organisées au sujet des implants mammaires et le lymphome anaplasique à grandes cellules.
Conclusions du CSST
« Consultation publique sur la place et l’utilisation des implants mammaires texturés en chirurgie esthétique et reconstructrice »
(Séances des 7 et 8 février 2019)
La pose d’implants mammaires texturés induit un certain nombre de risques connus et décrits,parmi lesquels le lymphome anaplasique à grandes cellules lié aux implants mammaires (LAGC-AIM).
Dans le cadre de la chirurgie reconstructrice, l’utilisation des implants texturés n’est pas indispensable mais demeure indiquée dans un certain nombre de situations dans lesquelles la texture de l’implant constitue un bénéfice avéré (en termes de forme anatomique, de stabilité, d’expansion tissulaire et de réduction du risque de la capsulite rétractile).
Dans le cadre de la chirurgie esthétique, l’utilisation des implants texturés n’est pas indispensable mais peut rester une option parmi d’autres dans un certain nombre de situations dans lesquelles la texture de l’implant constitue un bénéfice avéré (en termes de stabilité, d’expansion tissulaire et de réduction du risque de la capsulite rétractile).
Dans le contexte de la recommandation faite par l’ANSM d’utiliser préférentiellement des implants lisses et compte tenu des doutes émis par les professionnels de santé, il convient d’interdire le recours à la texture Biocell d’Allergan. La plus grande prudence doit êtreréservée aux implants mammaires de textures équivalentes et aux implants polyuréthane.
Le comité ne recommande toutefois pas d’explantation préventive de ces implants texturés.
Dans le contexte de la recommandation faite par l’ANSM d’utiliser préférentiellement des implants lisses et compte tenu des doutes émis par les professionnels de santé quant aux implants macrotexturés et aux implants polyuréthane, il convient de définir des conditions d’utilisation limitées et encadrées :
- – par une classification standardisée des textures qui doit être définie à l’échelon européen
- – par une information rigoureuse et complète des patientes sur ces dispositifs médicaux dont l’utilisation n’est pas anodine, sur les alternatives qui existent aux implants mammaires texturés, sur le suivi annuel (au minimum clinique et échographique) auquel leur pose doit donner lieu
- – par une information plus systématique des autres professionnels de santé susceptibles de suivre des patientes porteuses d’implants mammaires texturés quant aux risques induits par ces dispositifs, dont celui de LAGC-AIM (une attention toute particulière doit être portée à un épanchement périprothétique abondant, une rougeur du sein,une augmentation de volume, la perception d’une masse ou de ganglions, une ulcération ou l’altération de l’état général)
- – par une transparence accrue et une garantie apportée par les fabricants quant à la qualité et à la sécurité de leur dispositifs médicauxIl convient que le registre national des implants mammaires dont la création vient d’être approuvée voit le jour rapidement.
RECOMMANDATIONS
du Directoire Professionnel des Plasticiens relatives aux implants mammaires et au risque de LAGC
Prenant à la fois en compte les données scientifiques dont il dispose actuellement concernant le LAGC (lymphome anaplasique à grandes cellules), et les principes déontologiques qui régissent l’exercice de la Médecine, le Directoire Professionnel des Plasticiens réuni sous l’égide de la SoFCPRE recommande dorénavant de ne plus mettre en place d’implants mammaires à surface macro-texturée de type Biocell® de la marque Allergan® en raison de la sur-représentation de ces prothèses dans cette pathologie. Le Directoire reste prudent concernant les autres implants à surface macro-texturée et les implants à surface recouverte de polyuréthane, pour lesquelles les travaux se poursuivent pour déterminer une éventuelle exposition au risque.
Concernant les femmes porteuses d’implants mammaires à surface macro-texturée de type Biocell®, le Directoire ne recommande pas d’explantation préventive à titre systématique, car le risque de survenue d’un LAGC est extrêmement faible.
Comme à toutes les femmes porteuses d’implants mammaires le Directoire recommande avec ses tutelles[1] une surveillance annuelle chez leur chirurgien, leur gynécologue ou leur médecin traitant (examen clinique, échographie et IRM au moindre doute).
En cas d’épanchement abondant, d’augmentation de volume, de douleur, d’inflammation, ou de toute anomalie au niveau du sein, quel que soit le moment de sa survenue ou en cas de traumatisme sur le sein, une consultation médicale est indispensable.
En l’absence d’anomalies cliniques ou radiologiques, il est toutefois inutile de modifier la fréquence et les modalités d’une surveillance annuelle.
En cas d’explantation ou de changement d’implant, des prélèvements de capsule périprothétique ou d’un éventuel épanchement devront être systématiquement effectués pour le réseau lymphopath.
Profondément soucieux de la santé de leurs patientes, les chirurgiens plasticiens français se préoccupent depuis janvier 2011 du problème du LAGC et travaillent à cet effet en étroite collaboration avec leurs instances de tutelle (DGS, ANSM, InCA) et avec les sociétés scientifiques internationales (ASAPS).
Malgré le grand nombre d’inconnues, il apparaît aujourd’hui que la texturation de l’implant pourrait jouer un rôle important dans la survenue du LAGC. Grâce à son réseau Lymphopath unique au monde, la France a pu recenser 50 cas de LAGC de 2009 à juillet 2018. Ces cas concernaient dans la majorité des cas des implants à surface texturée. A cet égard, les chirurgiens plasticiens français avaient émis en 2017 une recommandation de prudence concernant l’utilisation des implants macrotexturés et la relativité de leur indication. Depuis lors, à la suite des conclusions des travaux commandités par l’ANSM et publiés en juillet 2018[2], on distingue les implants mammaires en 4 catégories selon la nature de leur surface : lisse, micro-texturée, macro-texturée, et recouverte de polyuréthane.
Si la France est le seul pays au monde à disposer du réseau de centres experts « lymphopath », elle est en revanche en retard dans la mise en place d’un registre national de surveillance des implants mammaires. En collaboration avec la Fédération des Spécialités Médicales (FSM) et l’ANSM, le Directoire Professionnel des Plasticiens a pourtant développé un tel registre, qui est opérationnel depuis 3 ans, mais dont la mise en application s’est malheureusement heurtée jusqu’à ce jour aux procédures administratives de la CNIL.
Si le sujet est préoccupant, il faut toutefois garder le sens de la mesure et ne pas inquiéter inutilement la population. La fréquence du LAGC est si faible que le risque est encore très difficile à quantifier. Pour la même raison, il n’est pas possible d’identifier précisément les facteurs de risques associés à cette pathologie, qui sont vraisemblablement multiples. A côté de la texturation de surface des implants en effet, le rôle de certains microbes et le terrain génétique ont été incriminés, qui nécessitent aussi des études complémentaires.
Tant en chirurgie reconstructrice qu’en chirurgie esthétique, et lorsqu’il n’existe pas de solution alternative raisonnable, le Directoire souligne que les bénéfices apportés aux patientes par les implants mammaires sont actuellement infiniment supérieurs au risque de LAGC.
[1] Document sur solidarites-sante.gouv.fr
[2] Document sur www.ansm.sante.fr
Janvier 2022 :
Blépharoplastie : tout savoir sur la chirurgie des paupières
Rides : faut il les estomper à tout prix ?
« Lifting : pourquoi tente-t-il à nouveau les femmes »
Madame Figaro
La Clinique du Parc Lyon, partenaire de l’exposition d’Henri MATISSE
« Le laboratoire intérieur » Musée des Beaux Arts de Lyon MBA du 02 décembre 2016 au 06 mars 2017.
Henri Matisse soigné à la clinique du Parc en 1941